André Cicollela, chercheur à l'Institut de l'environnement industriel et des risques (Ineris), spécialiste de l'évaluation des risques sanitaires :
Oui : plus de quatre millions de femmes dans le monde ont pris du distilbène et l'on a soixante ans de recul. On observe les mêmes effets que lors des tests sur l'animal.