André Cicollela, chercheur à l'Institut de l'environnement industriel et des risques (Ineris), spécialiste de l'évaluation des risques sanitaires :
Le problème de fond, c'est que REACH ne prend pas en compte ces aspects nouveaux : il est basé sur des tests classiques. Il est nécessaire d'intégrer, dans les tests, l'observation concernant la perturbation de l'ensemble du système hormonal.