Oui, il en existe, qu'il s'agisse des OGM, du DiPel, insecticide à base de protéine BT utilisé par l'agriculture biologique, ou de certains pratiques culturales telles que la rotation des cultures permettant d'améliorer la résistance naturelle des plantes. Car celles-ci savent se défendre et produisent elles-mêmes leurs propres insecticides.
Les plantes peuvent aussi être améliorées par d'autres méthodes, comme la mutagénèse. L'on a ainsi développé des variétés de tournesol particulièrement résistantes mais, alors même qu'il ne s'agit pas d'OGM, elles ont été fauchées... Pourtant, la recherche d'alternatives aux pesticides étant impérative, tous les champs de la recherche devraient être ouverts !
L'objectif dans l'immédiat est déjà celui d'une réduction de 50%.