Ce n'est pas scientifique. Il n'existe pas de chiffres précis mais les praticiens et les professionnels s'accordent autour de cette évaluation, sauf si l'on ravive la mémoire du risque.
Le second désavantage de la catastrophe vient du fait qu'elle ne permet pas de donner une autre vision que celle du passé. On a certes besoin de tirer des leçons du passé pour élaborer des statistiques, mais il convient aussi de s'affranchir de l'expérience du passé et de s'ouvrir aux dynamiques territoriales -d'où la nécessité d'un changement de vision.