La discussion des sept propositions de loi sénatoriales et du projet de loi gouvernemental relatifs au harcèlement sexuel s'inscrit dans un calendrier très serré et convenons, une fois n'est pas coutume, que cette volonté d'avancer rapidement est justifiée : il s'agit de combler un vide juridique choquant, celui qui résulte de l'abrogation par le Conseil constitutionnel du délit de harcèlement sexuel.
La discussion de ces différents textes pourrait venir en discussion devant le Sénat, en séance publique, début juillet, sous réserve des décisions de la Conférence des présidents.