Nous avons écouté le candidat socialiste pendant la campagne électorale et « tout ce qu’il avait oublié de nous dire ». Et, hier, nous avons écouté votre déclaration de politique générale, monsieur le Premier ministre. Nous regrettons de vous dire que nous en sommes toujours réduits au doute, à l’interrogation et à l’inquiétude pour les cinq années à venir.
Mais il y a aussi des certitudes. La première est que l’importance de vos pouvoirs est à la mesure des attentes et des espérances. Toute victoire électorale oblige. Mais votre victoire complète vous oblige complètement ! Les Français veulent le redressement de la France dans un monde recomposé et compétitif.