En conclusion, je voulais souligner que si cette réforme complexe n'a peut être pas produit aujourd'hui de résultats spectaculaires, elle a un bilan honorable : 6,6 milliards sur 6 ans.
Elle est aujourd'hui contestée, parce que peu lisible, et il nous faudra sans doute, dans les mois à venir, résister à la « tentation du grand bouleversement », qui remettrait en cause le modèle d'organisation lui même. C'est aujourd'hui la principale crainte du personnel et cela ne manquerait pas d'avoir un très fort impact en termes de moral et d'adhésion à la transformation. Ce qui est redouté c'est un scénario « à l'anglaise » où les réformes s'empilent avant qu'on n'ait pu les mener à terme. Je pense que nous devons plaider pour un travail, sans doute plus fastidieux, mais indispensable, de poursuite déterminée des rationalisations engagées.
Je vous remercie de votre attention.