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La différence est payée par le consommateur ou le contribuable et par consommateur on entend le particulier ou l'industriel.
Permettez-moi de vous interrompre quelques instants. Vous dites que, lors des deux jours de pointe, les 7 et 8 février dernier, la consommation industrielle a diminué de l'ordre de 2 % à 3 % par rapport à il y a un an.
Il faut comparer ce qui est comparable : il n'y avait pas de pic de pointe en février 2011.
Est-ce une étude que vous avez réalisée auprès de vos 41 adhérents ?
Cette entreprise a déjà été citée lors de précédentes auditions.
Cela nous a été relaté. On a proposé à RTE ou à EDF, je ne sais plus, de ne pas redémarrer. Vous me rémunérez combien ? La réponse a été : rien. Donc, dans ces conditions, l'industriel a dit qu'il redémarrait.
Que l'on rémunère celui qui ne redémarre pas !
Non, non !
Il ne s'agit pas de caricaturer, car c'est un vrai sujet. Le message, on le connaît, on l'a bien compris. Votre souhait de mieux rémunérer l'effacement est un vrai problème. Par rapport à ce qui est fait dans d'autres pays, notamment dans les États américains, il y a une marge de manoeuvre importante en France.
Je suis tout à fait d'accord avec vous.
C'est un vrai enjeu technique et économique, on l'a bien compris.
On est bien d'accord !
Notre système d'effacement peut être beaucoup plus performant.
Si elles concernent l'effacement, cela nous intéresse !
Volontiers ! Quoi ? Comment ? Combien ? Quel volume ? Quel prix vous semblerait justifié ? En particulier, si vous avez des éléments de comparaison sur la manière dont sont rémunérés les effacements à l'étranger, cela nous intéresse. Du reste, plusieurs de vos groupes industriels ont des unités de production en France et à l'étranger. Cela peu...
Quel exemple pouvez-vous donner ?
À quel secteur pensez-vous ? Concrètement, quel type d'activité bénéficie de ces effets d'aubaine ?
J'ai bien compris. Vous voulez que celui qui s'efface soit plus rémunéré que celui qui ne le fait pas.
Je vous remercie d'avoir répondu de manière exhaustive aux questions que vous a posées M. le rapporteur, mais peut-être vos réponses ont-elles suscité de nouvelles questions. La parole est à M. le rapporteur.
Je vous remercie de ces précisions. Vous n'avez pas profité de la troisième question de notre rapporteur sur la CSPE pour défendre un peu la cogénération. N'était-ce pas quelque chose que demandaient certains de vos adhérents ? Il me semblait que c'était le cas. Mais vous êtes libre de répondre comme vous l'entendez. Cela étant, j'ai été surpr...