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Interventions en commissions de Michèle San Vicente-Baudrin


7 interventions trouvées.

a souhaité des précisions sur les progrès accomplis en 2006 en matière de scolarisation, ainsi que sur l'effort réalisé en faveur des établissements et services d'aide par le travail (Esat).

s'est interrogée sur l'éventualité d'une disparition de l'allocation de cessation anticipée d'activité des travailleurs de l'amiante (ACAATA), au profit du seul FIVA, et s'est demandé dans quelle mesure on pouvait mettre en cause la responsabilité des médecins du travail, compte tenu de leurs liens avec l'entreprise.

s'est étonnée de ce que les autorités canadiennes continuent d'affirmer que le chrysotile pouvait être utilisé sans danger dans des conditions satisfaisantes, et a estimé que la confiance dans les expertises scientifiques ou administratives pouvait dès lors être entamée. Elle a voulu savoir si des documents promotionnels sur l'amiante avaient, ...

a estimé que le coût du diagnostic de l'amiante dans les logements collectifs était très lourd et qu'il pouvait expliquer ce choix d'entreprises « moins disantes ».

En réponse à Mme Michèle San Vicente, qui a souhaité savoir quelles pathologies étaient considérées comme bénignes par le fonds, M. Roger Beauvois a indiqué qu'il s'agissait principalement des plaques pleurales. Il a jugé disproportionnées les indemnisations accordées par certains tribunaux au titre de ces affections.

a estimé qu'il existait un marché du diagnostic de l'amiante dans les immeubles. Elle a également noté que les fibres céramiques réfractaires ne constitueraient qu'un matériau de remplacement très subsidiaire de l'amiante. Elle a voulu savoir quelles étaient les conséquences de l'amiante sur la santé des étudiants de Jussieu.

Établissant un parallèle avec la silicose, Mme Michèle San Vicente s'est interrogée sur les niveaux d'indemnisation qui pourraient être garantis aux victimes.