Photo de Alain Cadec

Interventions sur "eaux" d'Alain Cadec


10 interventions trouvées.

... réunion. En amont de notre réunion, nous avons transmis aux représentants des agences de l'eau un questionnaire. Après mes propos introductifs et ceux du rapporteur Hervé Gillé, les responsables de chaque agence seront amenés à présenter les principales problématiques de leurs bassins hydrographiques et les priorités d'action définies dans leurs schémas directeurs d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE). Puis, nous en viendrons aux questions du rapporteur et des sénatrices et sénateurs membres de notre mission d'information, qui nous permettront de débattre. Les représentants des agences de l'eau pourront présenter des propositions d'amélioration pour notre système de gestion de l'eau - modifications réglementaires ou législatives. Dans le contexte hydrographique actuel, je ne doute pas ...

La plupart des villes, hormis leurs hypercentres, disposent de réseaux d'assainissement séparatifs.

...sagée depuis longtemps, mais il n'est pas toujours facile de la mettre en oeuvre, comme nous pouvons le constater lors de nos échanges sur le salon de l'agriculture. Je pense qu'il faut aussi rendre hommage aux agriculteurs. Dans beaucoup de régions et notamment en Bretagne, ils participent largement à cette évolution positive. Ils ont notamment contribué à faire diminuer la teneur en nitrate des eaux du bassin Loire-Bretagne. C'est pourquoi il importe de faire participer les agriculteurs aux politiques de l'eau. Je vous remercie de nous avoir éclairés sur de nombreuses questions. Je vous remercie encore d'avoir participé à cette réunion. La réunion est close à 17 heures. Ce point de l'ordre du jour a fait l'objet d'une captation vidéo qui est disponible en ligne sur le site du Sénat.

... du 24 décembre 2020 entre les deux parties, en particulier son volet pêche, a été perçu avec soulagement par les pêcheurs français car il s'agissait d'une meilleure issue qu'un « no deal ». Le volet pêche de cet Accord accorde aux pêcheurs de l'UE un sursis de 5 ans et demi, jusqu'à juin 2026, période de transition pendant laquelle l'Union européenne sécurise 75 % de ses quotas de pêche dans les eaux britanniques pour en rendre à terme 25 % aux pêcheurs britanniques, qui en voulaient au départ 60 %. Cela apparaît certes moins avantageux que la politique commune de la pêche, qui garantissait jusqu'alors un accès à la zone économique exclusive britannique et, en cas de « droits historiques », un accès à la bande côtière britannique (les 6-12 milles). C'est donc une perte, sachant que le quart ...

Oui, c'est possible, une partie des quotas dans les eaux norvégiennes et islandaises sont partagées avec le Royaume-Uni, on y trouve en particulier beaucoup de cabillaud, ce qui peut intéresser nos pêcheurs - mais il y a effectivement un risque de tensions.

... du 24 décembre 2020 entre les deux parties, en particulier son volet pêche, a été perçu avec soulagement par les pêcheurs français car il s'agissait d'une meilleure issue qu'un « no deal ». Le volet pêche de cet Accord accorde aux pêcheurs de l'UE un sursis de 5 ans et demi, jusqu'à juin 2026, période de transition pendant laquelle l'Union européenne sécurise 75 % de ses quotas de pêche dans les eaux britanniques pour en rendre à terme 25 % aux pêcheurs britanniques, qui en voulaient au départ 60 %. Cela apparaît certes moins avantageux que la politique commune de la pêche, qui garantissait jusqu'alors un accès à la zone économique exclusive britannique et, en cas de « droits historiques », un accès à la bande côtière britannique (les 6-12 milles). C'est donc une perte, sachant que le quart ...

Oui, c'est possible, une partie des quotas dans les eaux norvégiennes et islandaises sont partagées avec le Royaume-Uni, on y trouve en particulier beaucoup de cabillaud, ce qui peut intéresser nos pêcheurs - mais il y a effectivement un risque de tensions.

J'abonde dans votre sens. Les PSF que je propose d'interdire concernent seulement les licences dans les eaux britanniques. Il faut cependant se méfier de l'effet d'aubaine des PSF : des pêcheurs en fin de carrière peuvent être tentés de laisser détruire leur bateau contre une forte somme, c'est alors une destruction de nos droits de pêche - je l'ai dit au ministre. Un emploi à bord, c'est quatre emplois à terre, des bassins d'emploi et des familles sont concernés. Des ports sans bateaux, ce ne sont pl...

J'abonde dans votre sens. Les PSF que je propose d'interdire concernent seulement les licences dans les eaux britanniques. Il faut cependant se méfier de l'effet d'aubaine des PSF : des pêcheurs en fin de carrière peuvent être tentés de laisser détruire leur bateau contre une forte somme, c'est alors une destruction de nos droits de pêche - je l'ai dit au ministre. Un emploi à bord, c'est quatre emplois à terre, des bassins d'emploi et des familles sont concernés. Des ports sans bateaux, ce ne sont pl...