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a demandé si, du fait de son expérience en tant qu'expert de l'OMS, le professeur Keil estimait que les conflits d'intérêts y étaient bien gérés. Y a-t-il au sein de l'OMS une influence des laboratoires qui aurait pesé sur la déclaration de la pandémie ?
a fait remarquer que si la France avait, dans un premier temps, calibré ses commandes sur la base d'un schéma vaccinal à une seule injection, comme le préconise M. Jérôme Sclafer, le risque était alors de ne pas disposer au final de doses suffisantes s'il s'était avéré que deux injections étaient nécessaires.
a estimé que les hépatites toxiques n'étaient sans doute pas causées par la seule prise de paracétamol. Il a rappelé qu'il avait été fait état, devant la commission d'enquête, d'une étude réalisée en mai 2009 qui envisage l'éventualité d'une nouvelle vague pandémique dans l'hémisphère sud en mai-juin 2010. Les éléments aujourd'hui disponibles font-ils apparaître la possibilité d'une nouvelle vague à la Réunion ?
a rappelé le caractère tardif du constat de la stabilité du virus et a noté que les cas traités par les médecins généralistes n'étaient peut-être pas totalement représentatifs de la virulence du virus, les cas les plus graves étant traités à l'hôpital.
a demandé quelles étaient les propositions de Formindep pour lutter contre les conflits d'intérêt.
a rappelé que, lors de leur audition par la commission d'enquête, les représentants du CNOM avaient indiqué que, sur la base de la législation actuelle de 2002, ils n'étaient pas en situation de faire leur travail, faute de disposer des informations des conseils départementaux.