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s'est ensuite félicité du succès des incitations au développement de la vaccination antipneumococcique. Selon le directeur général de la CNAM, le nombre de vaccinations antipneumococciques a quintuplé en 2009 - ce qui prouve d'ailleurs que les médecins généralistes savent promouvoir des actions de prévention. Il a souhaité savoir si la ministre continuerait à encourager cette vaccination. Il s'est également demandé comment restaurer la confiance en la vaccination, que l'é...
a remarqué que le HCSP s'était néanmoins prononcé contre la vaccination obligatoire du personnel hospitalier, prévue par la loi, M. François Autain, président, rappelant que cette mesure était issue d'un amendement du Sénat, sur lequel le comité technique des vaccinations avait eu des réticences.
a remarqué que le HCSP s'était néanmoins prononcé contre la vaccination obligatoire du personnel hospitalier, prévue par la loi, M. François Autain, président, rappelant que cette mesure était issue d'un amendement du Sénat, sur lequel le comité technique des vaccinations avait eu des réticences.
a demandé si le ministère de la santé avait disposé des sondages en temps réel, notant que la commande de vaccins prévoyait de couvrir 75 % de la population, au-delà des 67 % qui déclaraient en juillet avoir l'intention de se faire vacciner.
a demandé si le ministère de la santé avait disposé des sondages en temps réel, notant que la commande de vaccins prévoyait de couvrir 75 % de la population, au-delà des 67 % qui déclaraient en juillet avoir l'intention de se faire vacciner.
a remarqué que depuis le début de la préparation à une éventuelle pandémie de la grippe H5N1, l'OMS a largement recommandé aux Etats membres de soutenir le développement de la production de vaccins antipandémiques. Elle n'a cependant pas mis l'accent, comme l'avait regretté l'an dernier le représentant du Royaume-Uni au conseil exécutif de l'OMS, sur une stratégie vaccinale à long terme orientée vers la recherche et le développement de vaccins dits « à large spectre » ou universels. Des recherches en ce domaine sont pourtant en cours aux Etats-Unis. La France ne devrait-elle pas soutenir u...
a remarqué que depuis le début de la préparation à une éventuelle pandémie de la grippe H5N1, l'OMS a largement recommandé aux Etats membres de soutenir le développement de la production de vaccins antipandémiques. Elle n'a cependant pas mis l'accent, comme l'avait regretté l'an dernier le représentant du Royaume-Uni au conseil exécutif de l'OMS, sur une stratégie vaccinale à long terme orientée vers la recherche et le développement de vaccins dits « à large spectre » ou universels. Des recherches en ce domaine sont pourtant en cours aux Etats-Unis. La France ne devrait-elle pas soutenir u...
a ensuite fait valoir que la grippe est rarement très dangereuse dans les pays développés, qui sont les plus à même de stocker des antiviraux ou d'acheter des vaccins. Les dons prévus aux pays les plus pauvres, dont la population est la plus vulnérable, ne semblent pas de nature à réduire ce déséquilibre. Comment rendre plus équitable l'accès aux moyens de lutte contre une pandémie grippale ?
a ensuite fait valoir que la grippe est rarement très dangereuse dans les pays développés, qui sont les plus à même de stocker des antiviraux ou d'acheter des vaccins. Les dons prévus aux pays les plus pauvres, dont la population est la plus vulnérable, ne semblent pas de nature à réduire ce déséquilibre. Comment rendre plus équitable l'accès aux moyens de lutte contre une pandémie grippale ?
La ministre est ensuite revenue, en réponse à une question de M. Alain Milon, rapporteur, sur l'évolution des sondages. On constate une diminution des intentions de vaccination en octobre et une remontée fin novembre. Ces mouvements s'expliquent par une active campagne incitant à la méfiance vis-à-vis de la vaccination et par la constatation que l'épidémie sera moins sévère que prévu. La remontée de novembre s'explique par l'arrivée effective de la grippe et par la mutation du virus en Norvège.
La ministre est ensuite revenue, en réponse à une question de M. Alain Milon, rapporteur, sur l'évolution des sondages. On constate une diminution des intentions de vaccination en octobre et une remontée fin novembre. Ces mouvements s'expliquent par une active campagne incitant à la méfiance vis-à-vis de la vaccination et par la constatation que l'épidémie sera moins sévère que prévu. La remontée de novembre s'explique par l'arrivée effective de la grippe et par la mutation du virus en Norvège.
a observé que plusieurs personnes avaient affirmé devant la commission d'enquête que le risque lié à l'apparition d'un nouveau virus de type H1N1 était qu'il mute et conduise à une deuxième vague meurtrière comme le virus de la grippe espagnole. Quelle était son opinion à ce sujet, en tant qu'immunologiste ? Pensait-il que la vaccination contre le A(H1N1)v aurait pu protéger contre le A(H1N1)v muté ? Une mutation du virus l'aurait-elle nécessairement rendu plus virulent ?
a observé que plusieurs personnes avaient affirmé devant la commission d'enquête que le risque lié à l'apparition d'un nouveau virus de type H1N1 était qu'il mute et conduise à une deuxième vague meurtrière comme le virus de la grippe espagnole. Quelle était son opinion à ce sujet, en tant qu'immunologiste ? Pensait-il que la vaccination contre le A(H1N1)v aurait pu protéger contre le A(H1N1)v muté ? Une mutation du virus l'aurait-elle nécessairement rendu plus virulent ?
A M. Alain Milon, rapporteur, qui lui a demandé son avis sur un abandon de la vaccination contre le BCG, M. Philippe Kourilsky a répondu que si l'on abandonnait cette vaccination, il faudrait trouver autre chose rapidement. Il a fait part de l'inquiétude des médecins dans les cas de tuberculose résistante aux antibiotiques. a noté que certains doutaient de la rationalité de fonder un plan pandémique sur l'idée que le H5N1 devenu transmissible d'homme à homme serait aussi virule...
A M. Alain Milon, rapporteur, qui lui a demandé son avis sur un abandon de la vaccination contre le BCG, M. Philippe Kourilsky a répondu que si l'on abandonnait cette vaccination, il faudrait trouver autre chose rapidement. Il a fait part de l'inquiétude des médecins dans les cas de tuberculose résistante aux antibiotiques. a noté que certains doutaient de la rationalité de fonder un plan pandémique sur l'idée que le H5N1 devenu transmissible d'homme à homme serait aussi virule...
a rappelé que M. Philippe Kourilsky avait affirmé, toujours dans le quotidien La Croix, que l'application à tort du principe de précaution avait entraîné des « décisions inefficaces, pour un coût économique et souvent social élevé ». Tel ne lui semblait-il pas avoir été le cas pour la gestion de la pandémie de virus H1N1 ? Par ailleurs, l'achat massif de vaccins lui a-t-il paru relever du principe de responsabilité et d'altruisme qu'il préconise ? L'échec de la campagne de vaccination est-il un coup porté à l'altruisme ?
a rappelé que M. Philippe Kourilsky avait affirmé, toujours dans le quotidien La Croix, que l'application à tort du principe de précaution avait entraîné des « décisions inefficaces, pour un coût économique et souvent social élevé ». Tel ne lui semblait-il pas avoir été le cas pour la gestion de la pandémie de virus H1N1 ? Par ailleurs, l'achat massif de vaccins lui a-t-il paru relever du principe de responsabilité et d'altruisme qu'il préconise ? L'échec de la campagne de vaccination est-il un coup porté à l'altruisme ?
a souhaité savoir si M. Van Roekeghem avait un avis sur la place de la vaccination dans le dispositif de lutte contre la pandémie et s'il avait été consulté sur la résiliation d'une partie des commandes de vaccins. Par ailleurs, quel jugement doit être porté sur l'organisation logistique de la campagne de vaccination et comment concevoir un dispositif de vaccination pandémique « révisable » en fonction de la gravité de la maladie et de la définition des populations cibles ...
a souhaité savoir si M. Van Roekeghem avait un avis sur la place de la vaccination dans le dispositif de lutte contre la pandémie et s'il avait été consulté sur la résiliation d'une partie des commandes de vaccins. Par ailleurs, quel jugement doit être porté sur l'organisation logistique de la campagne de vaccination et comment concevoir un dispositif de vaccination pandémique « révisable » en fonction de la gravité de la maladie et de la définition des populations cibles ...
a demandé à combien s'élève à l'heure actuelle le coût final de la gestion de la grippe A(H1N1)v pour la CNAMTS, ainsi que sa participation aux dépenses de l'Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (EPRUS) concernant l'achat de vaccins, l'indemnisation des laboratoires, les achats de consommables et les dépenses logistiques.