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a rappelé que M. Philippe Kourilsky avait affirmé, toujours dans le quotidien La Croix, que l'application à tort du principe de précaution avait entraîné des « décisions inefficaces, pour un coût économique et souvent social élevé ». Tel ne lui semblait-il pas avoir été le cas pour la gestion de la pandémie de virus H1N1 ? Par ailleurs, l'achat massif de vaccins lui a-t-il paru relever du principe de responsabilité et d'altruisme qu'il préconise ? L'échec de la campagne de vaccination est-il un coup porté à l'altruisme ?
a souhaité savoir si la CNAMTS avait disposé de remontées de la part des caisses primaires concernant la gravité du virus.
a souhaité savoir si la CNAMTS avait disposé de remontées de la part des caisses primaires concernant la gravité du virus.
a posé une question sur la procédure dite des « vaccins maquette ». Permet-elle une adaptation suffisante du vaccin aux caractéristiques du virus ? Est-ce en raison de l'élaboration des « vaccins maquette » contre le virus H5N1 qu'un schéma à double injection avait été prévu pour les vaccins H1N1 ?
a posé une question sur la procédure dite des « vaccins maquette ». Permet-elle une adaptation suffisante du vaccin aux caractéristiques du virus ? Est-ce en raison de l'élaboration des « vaccins maquette » contre le virus H5N1 qu'un schéma à double injection avait été prévu pour les vaccins H1N1 ?
a ensuite demandé si les études post-AMM sur les vaccins contre le virus H1N1 avaient été différentes de celles menées pour d'autres vaccins.
a ensuite demandé si les études post-AMM sur les vaccins contre le virus H1N1 avaient été différentes de celles menées pour d'autres vaccins.
a souhaité savoir si le virus H5N1 pourrait, un jour, être à l'origine d'une pandémie humaine.
a souhaité savoir si le virus H5N1 pourrait, un jour, être à l'origine d'une pandémie humaine.
a souligné que les auditions menées par la commission d'enquête tendaient à démontrer que l'OMS n'avait pas retenu une définition adéquate de la pandémie, ce qui a eu des conséquences importantes et il a estimé que la préparation d'une pandémie de grippe H5N1 relevait d'une erreur manifeste d'appréciation. Il a souhaité savoir pourquoi le professeur Keil ne partageait pas l'opinion que le virus A (H1N1) était un virus nouveau issu d'un réassortiment génétique.
a souligné que les auditions menées par la commission d'enquête tendaient à démontrer que l'OMS n'avait pas retenu une définition adéquate de la pandémie, ce qui a eu des conséquences importantes et il a estimé que la préparation d'une pandémie de grippe H5N1 relevait d'une erreur manifeste d'appréciation. Il a souhaité savoir pourquoi le professeur Keil ne partageait pas l'opinion que le virus A (H1N1) était un virus nouveau issu d'un réassortiment génétique.
a demandé pourquoi, si les données indiquaient la faible gravité du virus, les analyses de la majorité des épidémiologues avaient été si alarmistes.
a demandé pourquoi, si les données indiquaient la faible gravité du virus, les analyses de la majorité des épidémiologues avaient été si alarmistes.
s'est interrogé sur la nécessité de vacciner la population en vue d'un éventuel deuxième pic pandémique, la première circulation du virus ayant en théorie immunisé une part importante de la population.
s'est interrogé sur la nécessité de vacciner la population en vue d'un éventuel deuxième pic pandémique, la première circulation du virus ayant en théorie immunisé une part importante de la population.
a estimé que de tels enseignements auraient déjà dû être retirés de l'expérience acquise lors de la préparation de la lutte contre le virus H5N1.
a estimé que de tels enseignements auraient déjà dû être retirés de l'expérience acquise lors de la préparation de la lutte contre le virus H5N1.
a demandé si les personnes décédées du fait du virus H1N1 avaient été ou non vaccinées.
a demandé si les personnes décédées du fait du virus H1N1 avaient été ou non vaccinées.
a souhaité savoir sur quels fondements reposait l'affirmation du HCSP, dans son avis du 8 juillet 2009, selon laquelle, en dépit des incertitudes sur l'immunogénicité des vaccins contre le virus A(H1N1)v, un schéma vaccinal ne pourrait comporter moins de deux doses.