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...s en plus m'inquiète, surtout s'ils paient en espèces. Ma deuxième question rejoint les préoccupations de mon collègue sur la privatisation. Vous avez déjà développé une activité dite de « B to B », c'est-à-dire le partage de votre compétence à destination d'autres entreprises de jeux d'argent et de hasard. Quel est l'avenir de ce secteur ? Ma troisième question porte sur le risque de voir un actionnaire privé contracter le nombre de points de vente ou supprimer des partenariats avec les buralistes en milieu rural, au regard de la diminution de 15 % du nombre de joueurs en dix ans. Celui-ci va chercher la rentabilité, alors que le buraliste est quelquefois le dernier commerce dans une commune. Ma quatrième question porte sur la fiscalité des jeux d'argent et de hasard, avec une fiscalité portan...
Nous accueillons ce matin David Azéma, commissaire aux participations de l'Etat. Le sujet qui nous occupe aujourd'hui est donc celui de l'Etat actionnaire : quelles participations sont détenues, quels objectifs le Gouvernement vous a-t-il fixés en la matière et de quels moyens disposez-vous pour les atteindre ? Plusieurs dossiers d'actualité nous intéressent particulièrement, notamment ceux de Dexia, des constructeurs automobiles ou encore de l'aéronautique suite à l'échec du rapprochement entre BAE Systems et EADS. Enfin, s'agissant de la création...
S'agissant des plans sociaux, quelle est l'attitude de l'Etat actionnaire ?
L'APE fait-elle appel à des ressources extérieures, notamment des avocats et des banquiers d'affaires, dans l'exercice de ses activités, et si oui, pour quels montants ? Par ailleurs, on ne peut totalement exclure que, via les interventions du Mécanisme européen de stabilité (MES) dont l'Etat est actionnaire, celui-ci se retrouve un jour indirectement actionnaire d'entreprises bancaires. Cette hypothèse et ses conséquences ont-elles été étudiées ?