3 interventions trouvées.
La politique monétaire actuellement mise en oeuvre a certes permis l'injection d'importantes liquidités dans l'économie et favorisé une forte réduction des taux d'intérêt ainsi que, dans une certaine mesure, une progression du crédit aux entreprises. Toutefois, les assouplissements monétaires successifs n'ont pas permis un rebond de l'inflation, ni même de la croissance économique. Aussi ne doit-on pas craindre une « j...
...ash » qu'en cas d'intervention du fonds. La Commission européenne estime toutefois que cette forme de contribution est incompatible avec le délai de remboursement des déposants, qui est de sept jours ouvrables. En conclusion, je vous rappelle que, au-delà des sujets que je viens d'évoquer, notre commission devrait se saisir prochainement des sujets budgétaires et relatifs à l'union économique et monétaire, compte tenu de la réflexion que nous souhaitons mener sur la gouvernance de la zone euro et de l'examen, prévu fin avril, du programme de stabilité. La réunion est levée à 12 h 07.
...que l'on est dans une « bulle » de taux faibles et qu'il existe un risque lié à la fin du programme ? Actuellement, nombre d'investisseurs étrangers, notamment américains, cherchent à placer leur dette dans la zone euro afin de profiter de la faiblesse des taux d'intérêt. La baisse des taux d'intérêt consécutive à la mise en oeuvre du programme d'achats d'actifs, ajoutée à la fin de la politique monétaire accommodante de la Réserve fédérale américaine (Fed), devrait conduire à rendre les actifs européens moins attractifs pour les investisseurs. N'existe-t-il pas un risque de transferts significatifs de capitaux de la zone euro vers des zones plus attractives, notamment les États-Unis ?