4 interventions trouvées.
Il ne faut pas avoir de nostalgie de la françafrique. M. Sarkozy avait tenté d'en finir avec ces méthodes ; avec François Hollande c'était totalement terminé, et il ne faut pas le regretter. L'Afrique est un champ de compétition mondial et tous les pays sont là. Il y a aussi un ressentiment anti-colonial.
Première question, monsieur le directeur général, l'AFD a-t-elle été touchée par l'épidémie ? Deuxième question, avez-vous suspendu des actions ou des projets en cours ? Troisième question, qui s'adresse à nos deux invités, à quoi attribuez-vous le fait que l'Afrique soit pour l'heure plutôt épargnée ? J'ai lu dans la presse plusieurs explications possibles : la prise d'antipaludéens, la faible densité de la population, la moindre exposition aux voyages de masse, la jeunesse de la population, le climat chaud et souvent humide, l'habitude de prévenir les épidémies, du sida à Ebola. Quatrième question, l'AFD a lancé, en lien avec l'IRD, des études sérologique...
...rces propres pour les financer et que Bercy n'en profite pas pour réduire la contribution. Quant au contenu, le document fixe une ligne éditoriale claire et expose une stratégie marketing cohérente. Il paraît équilibré et d'une modestie adaptée au niveau de progression des ressources. Je vous propose toutefois de mentionner dans votre avis notre attachement à la consolidation de nos positions en Afrique et au Maghreb en cohérence avec les concluions des rapports d'information de nos collègues Jeanny Lorgeoux et Jean-Marie Bockel d'une part, Josette Durrieu et Christian Cambon, d'autre part. J'ajoute, s'agissant du Maghreb, que Mme Saragosse, lors de son audition la semaine dernière, nous a indiqué le besoin ressenti par les populations du Maghreb de disposer de médias internationaux en arabe q...
A mon tour, je salue la qualité de ce rapport. Je me reconnais parfaitement dans le propos de Christian Cambon sur l'attente et « l'envie de France » en Afrique : c'est ce que nous en ont dit les ambassadeurs africains que nous avons rencontrés à New York, j'ai bien ressenti leur désir d'un certain retour de la France en Afrique, mais aussi le fait que les Chinois n'y étaient pas toujours très bien vus - en particulier parce qu'ils y travaillent quasiment en autarcie, sans recourir aux travailleurs africains et en leur livrant plutôt une concurrence dire...