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Interventions sur "DIF" de Bernard Seillier


6 interventions trouvées.

a demandé si un premier bilan des nouveaux dispositifs de formation issus de l'accord national interprofessionnel de 2003 avait été établi par les partenaires sociaux, et si l'information sur ces dispositifs auprès des salariés était jugée suffisante et satisfaisante. Il a souhaité savoir, par ailleurs, si la mise en place du DIF avait contribué à relancer le dialogue social au sein de l'entreprise. Relevant les critiques de l'intervenant à l'égard de l'articulation entre les branches et les territoires, il a sollicité son avis, de façon plus générale, sur les relations entre l'Etat, les régions et les partenaires sociaux dans le pilotage du système de formation professionnelle. Puis il s'est interrogé sur les moyens, d'u...

a demandé si un premier bilan des nouveaux dispositifs de formation issus de l'accord national interprofessionnel de 2003 avait été établi par les partenaires sociaux, et si l'information sur ces dispositifs auprès des salariés était jugée suffisante et satisfaisante. Il a souhaité savoir, par ailleurs, si la mise en place du DIF avait contribué à relancer le dialogue social au sein de l'entreprise. Relevant les critiques de l'intervenant à l'égard de l'articulation entre les branches et les territoires, il a sollicité son avis, de façon plus générale, sur les relations entre l'Etat, les régions et les partenaires sociaux dans le pilotage du système de formation professionnelle. Puis il s'est interrogé sur les moyens, d'u...

Interrogé par M. Bernard Seillier, rapporteur, sur le rôle de la formation professionnelle à l'égard des salariés ne maîtrisant pas le socle minimal des connaissances, M. Jean-François Veysset a souligné qu'il s'agissait plutôt d'une responsabilité régalienne de l'Etat et de l'Education nationale. Il a ajouté que certains jeunes avaient besoin de parcours différents et professionnalisés, qui stimulent leur désir d'apprendre. En réponse à une question de M. Bernard Seillier, rapporteur, sur les créations d'emplois prévisibles dans le domaine des services à la personne et sur l'adaptation de la formation professionnelle à ces besoins, M. Jean-François Veysset a évoqué l'évolution de ce secteur qui « se constitue en tant qu'employeur » et doit mettre en...

Interrogé par M. Bernard Seillier, rapporteur, sur le rôle de la formation professionnelle à l'égard des salariés ne maîtrisant pas le socle minimal des connaissances, M. Jean-François Veysset a souligné qu'il s'agissait plutôt d'une responsabilité régalienne de l'Etat et de l'Education nationale. Il a ajouté que certains jeunes avaient besoin de parcours différents et professionnalisés, qui stimulent leur désir d'apprendre. En réponse à une question de M. Bernard Seillier, rapporteur, sur les créations d'emplois prévisibles dans le domaine des services à la personne et sur l'adaptation de la formation professionnelle à ces besoins, M. Jean-François Veysset a évoqué l'évolution de ce secteur qui « se constitue en tant qu'employeur » et doit mettre en...

a demandé de quels types et de quels niveaux de formation le secteur du bâtiment avait besoin et comment étaient décidées l'ouverture ou la fermeture d'une formation dans ce secteur. Il a aussi souhaité savoir comment le bâtiment cherchait à ouvrir aux salariés des perspectives de promotion sociale et quel jugement la fédération française du bâtiment portait sur le fonctionnement du DIF et sur sa transférabilité. Il a demandé de quelle façon la profession envisageait la coordination des acteurs de la formation professionnelle et si la région était le niveau adéquat d'élaboration des politiques de la formation. Il s'est enfin enquis de l'organisation des formations courtes exigées par la réglementation.

a demandé de quels types et de quels niveaux de formation le secteur du bâtiment avait besoin et comment étaient décidées l'ouverture ou la fermeture d'une formation dans ce secteur. Il a aussi souhaité savoir comment le bâtiment cherchait à ouvrir aux salariés des perspectives de promotion sociale et quel jugement la fédération française du bâtiment portait sur le fonctionnement du DIF et sur sa transférabilité. Il a demandé de quelle façon la profession envisageait la coordination des acteurs de la formation professionnelle et si la région était le niveau adéquat d'élaboration des politiques de la formation. Il s'est enfin enquis de l'organisation des formations courtes exigées par la réglementation.