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Interventions sur "supérieur" de Corinne Bouchoux


4 interventions trouvées.

... secrétaire d'État a annoncé un certain nombre de mesures qui vont dans le bon sens. Il faut savoir le dire. Et je souhaite vous remercier, de manière générale, pour votre réactivité et pour les réponses argumentées que vous nous fournissez. Je peux vous dire que ce n'est pas le cas dans tous les ministères. Cela permet un dialogue plus serein. Je souhaite vous interroger sur la place des écoles supérieures du professorat et de l'éducation, les ESPE, dans les universités. Comment la proposition de loi relative au master que nous avons votée la semaine dernière va-t-elle se traduire pour elles ? Cela pose la question du calendrier des concours et celle du redéploiement de certains moyens. Valérie Létard a posé la question cruciale du maillage territorial. Alors que des objectifs ont été fixés en t...

Monsieur le secrétaire d'État, avez-vous des remontées du terrain sur la mise en place de la réforme des écoles dans les écoles supérieures du professorat et de l'éducation, les ÉSPÉ ? À l'occasion d'une visite, j'ai pu constater une certaine souffrance au travail des enseignants et un grand stress des étudiants. Le ministère a-t-il diligenté une enquête pour savoir comment s'était passée cette année ? Je ne rouvre pas le débat sur la qualification des enseignants-chercheurs. En théorie, tous les futurs enseignants-chercheurs parl...

Vous avez évoqué, monsieur le ministre, la nécessité d'une meilleure intégration du plan local dans le fonctionnement de l'enseignement supérieur et celle du rapprochement des structures universitaires. La coopération entre l'université et les grandes écoles constitue une autre piste. Pouvez-vous nous confirmer que les étudiants scolarisés dans les classes préparatoires aux grandes écoles de l'enseignement privé ne s'acquittent pas de frais d'inscription dans les universités publiques. Est-ce bien le cas ? Par ailleurs, vous avez évoqué de...

...t que les trois-quarts des propositions de ce rapport figuraient il y a dix ans dans le programme des écologistes. Tout en partageant l'essentiel du constat dressé par les auteurs, je souhaite les interroger sur un élément essentiel qui ne me semble pas avoir été traité avec l'ambition nécessaire. Vous indiquez, en page 3 de votre synthèse, dans la partie relative aux faiblesses de l'enseignement supérieur français, que notre système est éclaté en 74 universités, 1 500 écoles, 450 classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) et 2 300 sections de techniciens supérieurs (STS), autant de formations que vous présentez sur le même plan. Dans votre esprit, ce constat n'entraîne-t-il pas, en creux, une interrogation sur l'avenir des classes préparatoires ? Avec les CPGE nous observons une réussite stat...