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...t a conduit à des initiatives comme celles de l'école nationale supérieure des arts et métiers ou de l'Institut des études politiques de Paris ; ces expériences méritent d'être analysées et reprises dans d'autres secteurs. En ce qui concerne l'entrée dans les écoles de commerce, le constat d'une nécessaire réduction des différences culturelles a conduit à des expérimentations dans le domaine de l'apprentissage ou l'organisation de séjours longs dans des universités étrangères afin de combler ce décalage. Toutefois, M. Daniel Laurent est convenu que les racines du problème se situent à l'école. Il a préconisé, d'une part, un débat approfondi sur les zones d'éducation prioritaire (Zep) afin de leur donner davantage de moyens et d'accorder plus d'autonomie aux équipes locales, d'autre part, un intérêt pl...
a indiqué qu'une loi n'était pas nécessaire pour augmenter les formations IUT ou BTS et que leur extension ne sera possible que si les régions prennent le sujet en main, notamment dans le cadre de l'apprentissage. Il a redit l'intérêt de se pencher sur les écoles primaires, car le fait que 15 % des enfants en moyenne ne maîtrisent pas les fondamentaux rend la tâche des enseignants des collèges impossible dans certaines zones.
a insisté sur l'insuffisante valorisation de l'enseignement technique, y compris à l'intérieur du corps enseignant, ce qui nécessite une prise de conscience collective et un travail dans la durée pour inverser la tendance. Pour le développement de l'apprentissage, de l'alternance et de l'enseignement dual, il a redit son intérêt pour la création de sections d'apprentissage dans les établissements d'enseignement public, comme le permet la loi Giraud. Il a ajouté que l'enseignement technique doit aujourd'hui s'étendre un peu plus au secteur tertiaire.
a fait valoir que le projet de loi crée en fait une sorte de préapprentissage accompagné et sous statut scolaire dont il faudrait mesurer l'efficacité avec l'expérience.