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Interventions sur "rafale" de Didier Boulaud


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...force de dissuasion. Je ne suis pas certain que cette deuxième composante aurait survécu aux mesures d'économies actuelles. Sur les exportations, le chef d'état-major des armées, l'Amiral Guillaud, vient d'effectuer un déplacement en Inde pour y préparer la visite du Chef de l'Etat. Savez-vous si l'accord sur la rénovation des Mirage a des chances d'être conclu et quid de la vente de nos précieux Rafale ? Jean-Paul Palomeros, chef d'état-major de l'armée de l'air - S'agissant de la rénovation de la composante aéroportée, il ne s'agit pas d'une opportunité. C'est un travail de longue haleine qui s'est étalé sur deux décennies et qui a survécu à plusieurs alternances politiques. Du reste, la seconde composante était historiquement la première. Elle a été voulue par le général de Gaulle. Sa rénov...

...ite souhaité des précisons sur la justification, les conditions et l'intérêt économique de la cession de l'usufruit des satellites de télécommunications militaires. Il a demandé dans quelle mesure l'acquisition d'avions de transport KC 390 auprès du Brésil était utile, au regard de la gamme des besoins couverte par l'A400M. Il a fait état des difficultés de maintien en condition opérationnelle du Rafale. Il s'est interrogé sur le projet de vente d'un bâtiment de projection et de commandement (BPC) à la Russie.

...u chef d'état-major de l'armée de l'air ce qui, à son avis, constituait des réussites de l'Europe de la défense au niveau des armées de l'air. Il lui a également demandé si l'armée de l'air française aurait vraiment besoin du futur avion brésilien KC-390, alors que l'A400M avait été présenté comme étant l'avion polyvalent parfait. Il a fait part de ses inquiétudes sur le fait que la production de Rafale pour l'export ne se traduise par un défaut de livraison pour l'armée de l'air française. Il a demandé s'il était prévu que les Mirage 2000-9 de l'armée de l'air émiratie reviennent en France et, en ce cas, si l'armée de l'air française en avait besoin. Enfin, il l'a questionné sur les raisons du départ des forces aériennes françaises et espagnoles de la base de Manas au Kirghizistan.

Puis, M. Didier Boulaud a souhaité avoir confirmation que seule la version F3 du Rafale était proposée à l'exportation.

évoquant la diminution de la cible du programme FREMM, s'est interrogé sur les raisons et les conséquences de l'abandon de la version « action vers la terre ». Il s'est également inquiété des conséquences, pour la marine, d'une réduction de la prochaine commande de Rafale, actuellement prévue à hauteur de 60 appareils.