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Interventions sur "thérapie" de Florence Lassarade


3 interventions trouvées.

...l'essai. Les spécialistes regrettent néanmoins que seul un cinquième des patients éligibles ait accès à cette technique. La raison invoquée est le trop faible nombre de centres la pratiquant régulièrement et dotés d'une expertise suffisante. Cette activité ne serait pas prioritaire pour les hôpitaux soumis à de fortes contraintes économiques. Pour la plupart des maladies neurodégénératives, les thérapies non médicamenteuses améliorent le quotidien des patients. Simulation cognitive et activité physique font partie des soins recommandés ; l'accès aux kinésithérapeutes et orthophonistes est d'ailleurs prévu dans les dispositifs d'affection longue durée. Cependant, cet accès est rendu difficile par le manque de professionnels. Pour faciliter le quotidien ou traiter d'autres conséquences de ces mal...

...n a une, ou le cas échéant d'une institution, un EPHAD par exemple. La détection n'est pas très difficile : le médecin donne, en début de consultation, cinq mots à retenir, puis demande au patient de les répéter quelques minutes plus tard. Néanmoins, les médecins généralistes font face à une pression importante : ils ont peu de temps lors des consultations pour effectuer ce diagnostic. Les immunothérapies sont d'abord arrivées aux États-Unis mais sont encore peu utilisées en France à cause de leurs effets secondaires. Elles doivent être réalisées au début de la maladie : le diagnostic doit donc être précoce. Les effets secondaires comprennent des microhémorragies et des oedèmes qui inquiètent les pharmacologues. Cependant, ceux-ci ne sont détectables qu'à l'IRM. Le traitement coûte environ 2 000...

...tre un moment de bascule en révélant une maladie sous-jacente. De plus, certaines maladies virales ne possèdent pas de vaccin. Faut-il traiter chaque adolescent développant une mononucléose ? Nous ne nous sommes pas penchés de nouveau sur les diagnostics, même si nous avons été régulièrement en contact avec des spécialistes de la sclérose en plaques depuis l'épisode du Covid. Par ailleurs, aucune thérapie n'existe pour traiter l'évolution de la sclérose en plaques elle-même.