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...6, ces dépenses étaient traditionnellement sous-dotées en loi de finances initiale et qu'un prélèvement sur le fonds de roulement de la MFP permettait de couvrir intégralement les besoins de financement. En 2005, il avait souligné, avec M. Michel Moreigne, rapporteur spécial, que le niveau du fonds de roulement de la MFP ne permettrait plus de reconduire une telle opération en 2007. De fait, il a observé qu'un abondement du budget général de l'Etat, à hauteur de 14,5 millions d'euros, venait en compensation de l'absence de prélèvement sur le fonds de roulement de la MFP en 2007. Il a montré que, si l'on faisait abstraction de cette opération de redéploiement budgétaire, les dépenses d'action sociale interministérielle progressaient de plus de 20 millions d'euros par rapport à la loi de finances ...
a évoqué les conclusions du rapport de M. Michel Pébereau, qui le conduisait à qualifier la situation des finances publiques de « calamiteuse », mettant ces termes en parallèle avec l'économie de la surabondance décrite par M. Edouard Tétreau. Il s'est interrogé sur les raisons de ce déséquilibre. Il a observé que les investissements des entreprises étaient le plus souvent orientés vers le court terme, ce qui était préjudiciable à la croissance. Il s'est interrogé, enfin, sur la participation et le mode de gouvernance de l'entreprise.
a observé que le projet de loi avait déjà fait l'objet de longs débats auparavant et que la version adoptée en deuxième lecture par l'Assemblée nationale n'apportait pas de modification majeure au texte adopté par le Sénat qui était, selon lui, « perfectible ».