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Interventions sur "délégation" de Françoise Laborde


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Vous avez parlé, Madame la présidente, des orateurs des groupes pendant la discussion générale. Pour notre part, au RDSE, nous avons choisi de désigner pour intervenir à cette occasion non pas un membre de la délégation, mais notre collègue Josiane Costes, qui fait partie de la commission des lois. S'agissant de la discussion des articles, comme vous le savez, je tenais à porter un amendement sur l'inceste - dans la discussion d'un texte dont l'intitulé mentionne les violences familiales, je pensais que je n'étais pas hors sujet, mais je devais me tromper... Vous l'avez vu, j'ai présenté mes amendements très rap...

Pour autant, cela ferait peut-être du bien aux autres délégations de se réunir dans une salle portant le nom d'une femme ! Pour en revenir au prix, je soutiens l'idée d'une remise annuelle ; la date du 8 mars me semble tout-à-fait appropriée pour inscrire cet événement dans la durée.

...te question depuis 2008, alors que le problème avait émergé dans le cadre de l'examen d'un texte sur l'enseignement supérieur. Certains de nos collègues l'avaient découvert à cette occasion et s'en étaient émus. Je soutiens bien sûr l'idée de travailler sur les retraites et de prolonger nos travaux sur le thème « femmes et santé », ayant été co-rapporteure, avec Annick Billon, d'un rapport de la délégation en 2014-2015, qui explorait déjà ces aspects. Le Haut conseil à l'égalité (HCE) a été récemment renouvelé et je suis heureuse d'en être membre au titre du Sénat. Faisant partie de la commission sur la santé, les droits sexuels et reproductifs, je me demande si je peux lui soumettre des idées de travail pour éviter les doublons avec notre délégation.

Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, bien qu’ils soient inscrits dans nos lois et dans nombre de conventions internationales, les droits des femmes à disposer de leur corps et à s’émanciper du patriarcat ne sont pas acquis. Ce triste constat ressort régulièrement des travaux de notre délégation. La convention de l’ONU pour l’élimination de toutes formes de discrimination à l’égard des femmes, ratifiée par la France en 1979, statue dans son article 16 que les fiançailles et les mariages d’enfants n’ont pas d’effets juridiques. La convention du Conseil de l’Europe, dite convention d’Istanbul, sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique ...