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Interventions sur "artificielle" de Gérard Longuet


6 interventions trouvées.

...placement de Mme Émilie Cariou, qui a formulé le voeu de ne plus siéger au conseil d'administration de l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA) ; elle devra être remplacée par un parlementaire issu de l'Assemblée nationale. Enfin, en troisième et dernier point, nous procèderons à l'audition de M. Bertrand Pailhès, le coordonnateur national de la stratégie en intelligence artificielle. Pour conduire cette partie, je céderai la présidence à notre premier vice-président Cédric Villani. Ma première remarque, est que cette audition publique est une initiative de l'Office parlementaire, initiative commune de Cédric Villani et de moi-même. Je pense que nous avons eu raison de rappeler que l'Office existait, et qu'il avait compétence pour organiser des débats, afin d'éclairer les pa...

...à abordé par l'Office parlementaire, est très loin d'être épuisé, puisque l'on découvre chaque jour davantage sa complexité. Nous aurons, en tant que parlementaires, à le traiter dans le cadre des commissions et séances plénières de l'Assemblée nationale et du Sénat, par exemple prochainement dans le cadre de l'examen du projet de loi santé. Cédric Villani a exploré la question de l'intelligence artificielle dans un rapport remis au premier ministre et au président de la République en mars 2018. Un chapitre complet y est dédié à la santé et s'articule autour des deux thématiques suivantes : l'intelligence artificielle au service d'une part de la médecine, d'autre part des politiques de santé. Ce travail faisait suite à un rapport réalisé par l'Office parlementaire et intitulé Pour une intelligence ar...

... Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM), d'un médecin spécialiste de radiologie et d'imagerie médicale et d'un représentant de la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) travaillant sur la régulation et la protection de l'accès aux données. Nous aurons également le plaisir d'accueillir un membre du Barreau, un spécialiste de la réflexion éthique dans le domaine de l'intelligence artificielle en lien avec la santé et des chercheurs en algorithmie appliquée au domaine de la santé, tant dans le secteur public que privé. L'Office a également mobilisé, à l'occasion de cette audition, des représentants d'industriels et de start up, qui nous feront partager leur enthousiasme face à cette déclinaison de l'intelligence artificielle et sa maîtrise au service de la santé. Nous accueillerons enf...

.... Nous allons, tout d'abord, accueillir M. Rémi Quirion, scientifique en chef du Québec, que je remercie de sa présence et qui nous expliquera le sens de cette dénomination, son rôle ainsi que les moyens dont il dispose. Le deuxième temps de cette réunion sera consacré à la présentation, par notre premier vice-président, Cédric Villani, des réflexions qu'il conduit actuellement sur l'intelligence artificielle, des auditions qu'il a engagées et de l'avancement de cette commande gouvernementale sur ce que pourrait être une politique nationale française en matière d'intelligence artificielle.

L'intelligence artificielle est une préoccupation collective extrêmement forte. Le précédent gouvernement avait lancé, à travers le rapport France IA, une première réflexion globale. Notre Office est tout à fait informé de ces questions puisqu'il a éclairé le Parlement grâce aux travaux de Dominique Gillot, que je remercie de sa présence, et Claude de Ganay, qui ne pouvait être présent en raison d'un engagement à l'étrang...

Pour avoir vécu, dans un passé lointain, la coexistence brève et conflictuelle du minitel et d’internet, je souhaiterais que le pouvoir politique soit modeste et laisse une large place à la fois aux techniciens, aux scientifiques, aux investisseurs, aux consommateurs et aux citoyens. Il ne faut pas que le mythe d’une intelligence artificielle généralisée nous conduise à créer un système trop encadrant qui nous priverait de toute liberté individuelle. L’initiative et l’innovation doivent être mises au service de la liberté et certainement pas d’un encadrement réglementaire de nos modes de vie et, par exemple, de nos conditions de transport.