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Interventions sur "supérieur" de Gérard Longuet


5 interventions trouvées.

... demandant des compléments. Dans notre rapport de l'an dernier, assorti de conclusions sur le portail d'Admission Post-Bac, nous avions retenu trois axes qui nous paraissaient s'imposer pour son remplaçant. Le premier axe était la nécessité de conserver une responsabilité politique dans la définition des algorithmes publics. Effectivement, l'insertion des candidats bacheliers dans l'enseignement supérieur doit répondre à des préoccupations de politique générale de l'enseignement supérieur et de son accès. Ensuite, l'importance d'améliorer l'information et d'enrichir les compétences des utilisateurs pour qu'ils puissent tirer le meilleur parti de ce que nous pouvions mettre en place. Enfin, c'est un peu l'objet de la réunion de ce matin, l'impératif de garantir une évolutivité sous contrôle. Nous ...

...tion de nos jeunes, et qui pose de nombreux problèmes pratiques et également d'équité entre les territoires. En tant que sénateur, je suis évidemment sensible à ce sujet. Vous nous avez donné, Monsieur Baptiste, une vision d'ensemble assez largement partagée d'ailleurs. Monsieur Teillard, vous venez de nous rappeler l'enjeu majeur de l'articulation entre l'enseignement scolaire et l'enseignement supérieur. Je vais demander à Mme Mathieu et à M. Gimbert de bien vouloir témoigner de leur implication en tant qu'informaticiens, en quelque sorte mécaniciens du dispositif.

...it avec beaucoup de conviction et d'engagement personnel, ce qui est en général une condition du succès. Je voudrais remercier les uns et les autres, non seulement pour la qualité de leurs témoignages, mais surtout pour la qualité du travail réalisé. On sent qu'il y a une évolution qui réconcilie, vous l'avez dit, les - 3 et les + 3, c'est-à-dire la cohésion entre l'enseignement secondaire et le supérieur, question qui n'avait jamais été vraiment correctement traitée depuis plus de cinquante ans. La seconde satisfaction pour nous qui avons travaillé à l'Office parlementaire sur l'intelligence artificielle, notamment Cédric Villani, est de nous rendre compte que nous pouvions concilier à la fois la gestion des grands effectifs, avec une approche - vous venez d'en témoigner - beaucoup plus humaine ...

...ans les villes qui ne sont pas universitaires mais qui ont des lycées. Il faut éviter toute rupture ou incompréhension culturelle, à quoi renvoie le sujet des appréciations différentes des élèves par les enseignants du secondaire dans les villes dont les lycées sont tirés vers le haut par la présence d'universités, ne serait-ce d'ailleurs que certains enseignants y sont affectés à la fois dans le supérieur et en lycées, ce qui au demeurant est plutôt positif pour les lycées concernés. J'ai présidé une région qui s'est efforcée de mieux répartir la place de l'enseignement supérieur sur l'ensemble de son territoire. Je ne pense pas que ce soit une bonne voie. Il vaut mieux que les jeunes se forment dans de vraies universités, avec de vrais professeurs d'université. Cela n'exclut pas des formes inter...

C'est là un vaste sujet. L'Île-de-France connaît certaines rigidités, et en même temps bénéficie d'une plateforme territoriale de 12,5 millions d'habitants avec des transports collectifs structurés et une diversité des offres qui permet aux familles d'appréhender l'enseignement supérieur dans des conditions qui, certes, peuvent parfois s'avérer difficiles, je le concède, mais aussi moins coûteuses que dans la plupart des autres régions de France. En dehors de l'Île-de-France, les jeunes étudiants doivent souvent quitter leur région pour trouver une formation supérieure correspondant à leurs ambitions et à leurs compétences. Si vous avez plusieurs enfants, le problème est multipli...