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...simplement préciser que, dans un premier temps, nous avions pensé créer un arrêt maladie cadre d’une durée de six mois, mais que nous nous sommes finalement rendu compte que la consultation conduisant au renouvellement de cet arrêt n’était pas médicale à proprement parler. Nous partons du principe que le premier rendez-vous est une consultation médicale, car il aboutit à la délivrance d’un arrêt menstruel ; de ce fait, la femme souffrant de dysménorrhée ou d’endométriose bénéficie d’un suivi médical, voire du suivi d’une pathologie qui aura été diagnostiquée. Ce n’est que par la suite, après qu’un suivi médical aura effectivement eu lieu, que cette femme devra se représenter devant un médecin pour renouveler, ou non, son arrêt maladie. Nous estimons pour notre part qu’il est plus légitime de fix...
Ces dispositions s’inscrivent parfaitement dans l’état d’esprit de ce texte. L’arrêt menstruel est pour les femmes le recours ultime, lorsqu’elles n’ont d’autre choix que de s’arrêter. Aussi, il s’agit de leur permettre de travailler au mieux, le recours au télétravail étant trop restrictif, dans la mesure où il n’est pas possible dans tous les métiers. Je suis donc tout à fait favorable à ces deux amendements.