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... il est temps de nous interroger et de dégager ensemble des pistes concrètes pour améliorer la gestion de notre eau. Le mètre cube d'eau reste peu cher, facturé en moyenne à 4,3 euros. La bataille de l'assainissement est en grande partie gagnée, avec la réhabilitation ou la rénovation de nos réseaux d'alimentation en eau, ou encore avec la dynamique de réduction de la pollution industrielle. Des retenues d'eau ont été aménagées de longue date pour produire de l'hydroélectricité. Elles permettent de contribuer au soutien d'étiage et de sécuriser les apports d'eau, notamment en période sèche. Nous reviendrons dans nos débats sur la question de l'évolution des concessions hydroélectriques. Néanmoins, ce système reste fragile. Les tensions connues dans certains villages, notamment dans le Var, cou...
...ux ? Si l'acceptabilité de la construction historique des barrages a pu varier localement, nous pourrions tendre vers la définition d'un modèle économique commun du soutien d'étiage. Le financement du soutien d'étiage soulève aussi des questions sur la définition des domaines d'intervention des agences de l'eau. Les agences de l'eau pourraient être amenées à intervenir dans le fonctionnement des retenues d'eau, sans se limiter aux investissements qui s'y rapportent. Pourriez-vous nous apporter votre point de vue sur cette possibilité ? Enfin, tout en tenant compte des ressources disponibles, une question se pose sur l'éventualité d'une mise en concurrence des concessions hydroélectriques, voire des propriétaires de retenue d'eau. Ces derniers participent aujourd'hui à la politique de soutien d'...
Il s'agit donc d'un retour sur investissement qui s'exprime par le biais d'une participation au fonctionnement de la retenue d'eau.