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... matière de développement des énergies renouvelables va nous coûter plusieurs centaines de millions d’euros, faute d’avoir atteint les objectifs contraignants de l’Union européenne. À cet égard, les divergences entre les États membres de l’Union européenne retardent fortement la prise des décisions sur les enjeux stratégiques pour le marché de l’énergie, qu’il s’agisse du plafonnement du prix du gaz, des achats en commun ou du découplage entre le prix de l’électricité et celui du gaz. Dès lors, madame la ministre, les collectivités territoriales, garantes du bon fonctionnement de leur territoire et de leurs services publics, se trouvent acculées par des factures dont l’augmentation varie entre 30 % et 300 % pour le gaz et l’électricité. Ces hausses pourraient même représenter pour certaines...
...ntermittence des énergies renouvelables, les prix de l'énergie pourraient doubler au cours des vingt prochaines années. Partagez-vous son analyse ? Selon l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), le montant idoine du chèque énergie s'établit à 710 euros. Approuvez-vous cette estimation ? Enfin, pourquoi nos voisins européens n'ont-ils pas choisi de stocker davantage de gaz ?
...is vous faire part de quelques réflexions. À mon sens, il existe plusieurs systèmes de méthanisation, à commencer par la méthanisation agricole, mais aussi celle organisée par les collectivités - boues d'épuration, rejets agroalimentaires, etc. -, ainsi que les projets industriels, lesquels risquent de devenir de plus en plus prégnants. J'en veux pour preuve les propos des industriels du secteur gazier, qui entendent décliner très clairement leurs projets sur le territoire français. Il ne faut pas, selon moi, mélanger les trois types de méthanisation. Comment pourrait-on arriver à trouver un équilibre ? On doit également se poser la question par rapport à la Politique agricole commune (PAC) : comment peut-on continuer à subventionner du maïs irrigué pour en mettre une partie dans des méthan...