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...risent. Ainsi en est-il pour la représentation politique des Français de l'étranger. Madame la ministre, le texte que vous nous soumettez aujourd'hui aura des conséquences importantes pour l'AFE, l'Assemblée des Français de l'étranger, assemblée représentative de plus de deux millions de nos compatriotes résidant à l'étranger, mais aussi pour les élections des sénateurs représentant les Français établis hors de France. J'ai lu avec attention ce texte ainsi que le rappel historique sur ce qui était autrefois le Conseil supérieur des Français de l'étranger, le CSFE, proposé dans l'exposé des motifs et je m'étonne du raccourci auxquels vous procédez, madame la ministre. En effet, si vous citez à juste titre le texte fondateur de 1948 et la très importante réforme de 1982 qui a instauré le suffrag...
Je suis tout à fait favorable à cet amendement, d'autant plus qu'à titre personnel son adoption ne me posera pas de problème puisque, à l'instar de mes collègues parlementaires représentant les Français établis hors de France, je ne pourrai pas participer à la réunion constitutive de l'AFE !
...ssemblée des Français de l'étranger. Je l'ai fait spontanément et avec cœur car, étant le plus ancien des sénateurs des Français de l'étranger et siégeant à l'Assemblée des Français de l'étranger depuis 1975, je n'ai jamais connu une AFE – et elle a vu beaucoup d'évolutions, y compris celle de 1982, dont nous avons parlé toute à l'heure – où ne siègent pas les sénateurs représentant les Français établis hors de France. Je viens d'entendre vos propos, monsieur le président de la commission des lois, et je les respecte. Mais vous avez comparé ce qui n'est au demeurant qu'une simple assemblée consultative, sans pouvoir délibératif, à des assemblées délibératives métropolitaines. Permettez-moi, monsieur Sueur, de souligner cette différence avec les assemblées dont vous parlez, qui votent souvent l...