4 interventions trouvées.
...ographique de l'OTAN et sur l'adaptation de ses structures de commandement. L'amiral Jacques Lanxade a estimé que l'attitude des nouveaux Etats membres, que ce soit au sujet de l'installation d'éléments du système de défense antimissile américain ou à propos de l'élargissement de l'OTAN à l'Ukraine et à la Géorgie, ne facilitait pas les relations avec la Russie. Il a cependant observé que si les militaires polonais restaient très attachés à l'OTAN, la Pologne participait simultanément à toutes les opérations militaires de l'Union européenne. Il a estimé qu'on avait eu trop tendance par le passé à présenter la construction d'une Europe de la défense comme une alternative à l'OTAN, alors que la question ne se posait pas en ces termes, chaque organisation s'appuyant sur les mêmes forces militaires. I...
...les dégagées par l'externalisation alors que les exemples étrangers, en particulier britannique, montrent certaines limites d'une telle politique. Néanmoins, l'armée de terre reste volontariste dans ce domaine, pour peu que soit assurée la préservation des savoir-faire essentiels aux capacités opérationnelles. A titre d'exemple, des contrats d'externalisation globaux pour toutes les activités non-militaires sont actuellement à l'examen pour les écoles de l'armée de terre.
a demandé si des actions étaient en cours pour remédier au cloisonnement entre services de renseignement, notamment entre la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et la direction du renseignement militaire (DRM). Le ministre a répondu que le dialogue entre les services était réel, mais qu'il méritait d'être renforcé, tout comme la mutualisation des moyens techniques, par exemple en matière d'écoute. Il a surtout souligné la nécessité d'instaurer au plan politique une instance décisionnelle chargée de donner des directives précises aux services et de coordonner leur action.
a souligné la nécessité d'une intervention solennelle et claire des autorités françaises rappelant les motifs et les conditions de la présence française en Côte d'Ivoire. La diffusion d'images télévisées, où les manifestants ivoiriens s'en prennent au « néocolonialisme » de la France, justifiaient que soient rappelées les justes et vraies raisons de la présence militaire française dans ce pays.