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...e ? Lord Robin Teverson. - Je laisserais la question écossaise à mes collègues. Il y a effectivement une grande inquiétude chez de nombreuses personnes quant à leur statut et quant au fait que les gens n'ont pas pu voter aux élections européennes. La commission électorale va-t-elle lancer une enquête officielle ? Je n'en suis pas sûr. Peut-être que mes collègues en savent plus. Concernant le no deal, la commission des affaires européennes de la Chambre des Lords a étudié cette question il y a un an et demi et nous sommes arrivés à la conclusion qu'un retrait sans accord serait le pire des scénarios. Le débat fait rage au Parlement car, si personne n'arrive à se mettre d'accord sur quoi que ce soit, si l'un des 27 pays membres de l'Union refuse une nouvelle extension, comme le Président Macro...
...oi aussi je suis désespérée. Élue depuis trente ans des Français de Grande-Bretagne et d'Irlande, j'ai du mal à réaliser l'ampleur du désastre. Beaucoup de Britanniques pensaient, comme moi, qu'une solution serait trouvée, que Mme May imposerait sa sortie négociée. Le Royaume-Uni est un des seuls pays avec lequel nous avons un excédent commercial. La France serait donc très touchée en cas de no deal. Les Britanniques sont désorientés. Le travail a été fait avec les pays du Commonwealth et d'autres pays. Le Royaume-Uni est un pays de commerçants, pragmatique, et il a déjà commencé à développer de nouvelles relations, à signer des contrats. Beaucoup de patrons britanniques très respectés ont prôné le Brexit, en disant que cela allait ouvrir de nouveaux marchés. J'étais à l'inauguration du tu...