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Lors de notre récente réunion conjointe avec la délégation sénatoriale aux outre-mer, j'ai souligné l'importance de ne pas oublier les Français de l'étranger en matière de lutte contre les violences. Une réunion sur ce thème a eu lieu récemment avec des élus consulaires. Je pense qu'il serait bon que ce travail de suivi du Grenelle par la délégation intègre les Françaises vivant à l'étranger. Certaines d'entre elles font face à des situations très graves, pour elles comme pour leurs enfants, et se trouvent très isolées. Nous devons les aider. Je me porte bien évidemment volontaire pour être référente auprès des consulats. Il me semblerait également pertinent de mener ce travail à deux. Qu'en pense Claudine Lepag...
Au-delà de la bonne volonté affichée par tout le monde à l'égard des ressortissants d'un côté et de l'autre de la Manche, certaines difficultés peuvent se faire jour dans la mise en oeuvre. Des exemples concrets montrent que les bonnes paroles ne sont pas toujours suivies d'effet... Par conséquent, mon amendement n° COM-27 tend à prévoir la constitution d'un comité de suivi constitué de parlementaires des deux pays. J'ai d'ailleurs eu l'occasion d'évoquer un tel comité avec des diplomates et des parlementaires britanniques, qui se sont montrés enthousiastes.
Mais cela restera de sa compétence ! Simplement, ce groupe de suivi est interne au Parlement français. Là il s'agirait d'une coopération entre les Parlements des deux pays.