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...thique et scientifique de Parcoursup. Aujourd'hui encore, les élèves ne savent pas toujours selon quels critères leur dossier sera examiné et, le cas échéant, comment ces critères seront pondérés. Aucune information n'est donnée sur les éléments de notation utilisés par les commissions d'examen des vœux. Dans ce contexte, il me semble extrêmement important que la fiche Avenir renseignée par les lycées soit la plus précise possible – plusieurs présidents d'université m'ont invitée à plaider en ce sens. Celle-ci est particulièrement importante, car elle comporte des appréciations pour chaque vœu formulé par le lycéen pour la phase principale. Or le chef d'établissement doit émettre un avis portant aussi bien sur la cohérence du projet d'orientation de l'élève que sur sa capacité à réussir. Ain...
Bien évidemment, je souscris à tout ce qui a été dit. Madame la rapporteure, connaissez-vous l'impact de la crise sanitaire sur les jeunes des lycées agricoles, s'agissant notamment des stages ? Y a-t-il, dans les territoires, une souplesse de la part des préfets pour que les jeunes puissent effectuer leur stage dans les exploitations agricoles ou forestières ? Cette question me taraude depuis le premier confinement, la crise sanitaire étant pour eux une véritable punition.
...tre un atout pour nos jeunes. La nouvelle organisation des études appelle toutefois l’élaboration de nouveaux programmes d’enseignement. C’est la raison pour laquelle vous avez saisi le Conseil supérieur des programmes, qui a d’ores et déjà constitué une quarantaine de groupes d’experts ayant pour mission de concevoir des projets pour les quatre-vingt-deux nouveaux programmes prévus pour le futur lycée. Il s’agit d’une procédure longue, d’autant plus que les enseignements traditionnels vont être modifiés en profondeur, que la fin des séries générales bouleversera le contenu des matières et que de nouveaux enseignements verront également le jour. Je renouvelle mon soutien à la présidente du CSP, Souâd Ayada, mais j’espère que les tensions internes ne ralentiront pas le rétroplanning de ces prog...
Je vais m’intéresser à un public un peu plus âgé : les étudiants. En dehors du temps consacré aux enseignements supérieurs, les étudiants doivent pouvoir effectuer, de leur propre initiative, des périodes d’observation en milieu professionnel. Une telle possibilité est déjà ouverte aux élèves des deux derniers niveaux de l’enseignement des collèges ou aux élèves des lycées, avec le soutien des chambres consulaires. Eu égard au succès rencontré par ces stages, qui permettent à de nombreux jeunes de découvrir des métiers, notamment ceux relevant du secteur de l’artisanat, et conformément au souhait exprimé par les organismes consulaires, le présent amendement vise à étendre ce dispositif aux étudiants des enseignements supérieurs.