Photo de Marie-Noëlle Lienemann

Interventions sur "flotte" de Marie-Noëlle Lienemann


3 interventions trouvées.

...FEAMP. L'Europe prétend soutenir les PME mais dans le secteur de la pêche, rien n'est prévu pour valoriser les coopératives ni les petits artisans, si bien que les immenses navires usine, néfastes pour l'environnement, se multiplient, amplifiant par là même les importations. Je présenterai donc des amendements en faveur des coopératives dont le statut est reconnu par l'Union européenne. Notre flotte vieillit ; il faut la renouveler. La Caisse des dépôts demande une rentabilité des placements de 15 %, comme le ferait une banque privée, alors que l'aide publique française devrait consolider cette filière. Or, pour l'instant, il n'en est rien et les jeunes commencent à penser qu'il n'y a plus d'avenir pour eux dans ce métier.

...FEAMP. L'Europe prétend soutenir les PME mais dans le secteur de la pêche, rien n'est prévu pour valoriser les coopératives ni les petits artisans, si bien que les immenses navires usine, néfastes pour l'environnement, se multiplient, amplifiant par là même les importations. Je présenterai donc des amendements en faveur des coopératives dont le statut est reconnu par l'Union européenne. Notre flotte vieillit ; il faut la renouveler. La Caisse des dépôts demande une rentabilité des placements de 15 %, comme le ferait une banque privée, alors que l'aide publique française devrait consolider cette filière. Or, pour l'instant, il n'en est rien et les jeunes commencent à penser qu'il n'y a plus d'avenir pour eux dans ce métier.

...FEAMP. L'Europe prétend soutenir les PME mais dans le secteur de la pêche, rien n'est prévu pour valoriser les coopératives ni les petits artisans, si bien que les immenses navires usine, néfastes pour l'environnement, se multiplient, amplifiant par là même les importations. Je présenterai donc des amendements en faveur des coopératives dont le statut est reconnu par l'Union européenne. Notre flotte vieillit ; il faut la renouveler. La Caisse des dépôts demande une rentabilité des placements de 15 %, comme le ferait une banque privée, alors que l'aide publique française devrait consolider cette filière. Or, pour l'instant, il n'en est rien et les jeunes commencent à penser qu'il n'y a plus d'avenir pour eux dans ce métier.