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Bonjour à tous et merci. Je suis moi-même issue du milieu rural. J'ai vécu dans un village de moins de 1 000 habitants, et ai poursuivi des études supérieures. Quel parcours pour y parvenir ! Je n'ai pas ressenti cette pression. Comment les filles qui sont parties ont-elles pu le faire, au vu des pressions sociales et genrées qu'elles peuvent être amenées à subir ? Vous avez indiqué ne pas disposer des chiffres concernant les jeunes décidant par la suite de revenir. Il est important pour le territoire que les personnes l'ayant quitté pour leurs études puissent y re...
...ons bien claires, comme une maladie létale ou de particulière gravité. Les grossesses arrêtées ou les échecs d'implantation ne sont pas considérés comme telles et ne constituent donc pas des indications médicales pour le diagnostic génétique. Nous avions réclamé, dans certains cas d'échecs répétés ou de grossesses arrêtées à répétition, chez les patientes âgés de plus de 38 ans et suivies dans un parcours de PMA, un diagnostic génétique préimplantatoire pour transférer les embryons sains afin de diminuer la durée du parcours et augmenter les chances de grossesses de ces patientes. Concernant le risque de dérive, on peut aujourd'hui affirmer que bien que la technique soit bien maitrisée en cas d'indication médicale, il n'y a eu aucune demande de sélection génétique pour convenance personnelle en tr...
Nous sommes d’accord sur un point essentiel : nous ne pouvions continuer à accepter une admission post-bac conditionnée à un tirage au sort. Il fallait changer ce processus de décision totalement injuste. Cependant, Parcoursup ne répond ni aux exigences d’aujourd’hui ni à celles de demain, car la problématique première est le manque de moyens humains et financiers. Le besoin est estimé à 1 milliard d’euros par an pour faire face à la démographie étudiante, comme l’a rappelé Gilles Roussel, le président de la CPU. Je souhaite aborder plus spécifiquement la question de l’orientation. Le texte reste assez flou à ce suj...