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...onsidérable a vu aussi se développer de nouvelles formes de services à la population : il suffit de se rendre dans les rues le soir pour y croiser des livreurs à vélo, à vélomoteur ou autres modes de transport se rendant chez des clients de plus en plus nombreux. Les contraintes de circulation inhérentes à la situation pandémique ne sont sans doute pas étrangères au développement important de ces métiers, qui ont occupé l’actualité ; en tout état de cause, il y a là une nouvelle forme de travail. À partir de ce principe de la libre entreprise et du constat du développement du numérique, la question se pose de savoir comment il faut organiser cette nouvelle forme de travail. Un certain nombre de difficultés, en effet, ont été identifiées. Beaucoup de débats ont lieu sur les questions du salariat...
...ivité des salariés à cette méthode de management ? L'évolution du travail est souhaitable, car le modèle ultra-hiérarchisé traditionnel s'essouffle. De nombreuses entreprises connaissent des difficultés de recrutement et à ce titre, l'expérience du groupement d'employeurs nous semble intéressante. Les entreprises peinent à trouver les profils dont elles ont besoin, surtout dans un contexte où les métiers évoluent beaucoup. Il est important de disposer d'outils qui permettent de trouver des compétences ou de former en leur sein. Par ailleurs, je voulais demander à Mme Legault si la formation proposée pour les menuisiers existe aussi pour les autres fonctions de l'entreprise. Je m'adresse aussi à M. Bertin pour qu'il nous donne des exemples d'améliorations mises en oeuvre par les budgets consacr...
... la cohorte très nombreuse des jeunes –ils sont près de 900 000, nous dit-on – qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni en stage et qu'il faut absolument raccrocher au milieu professionnel. Il y a un volant d'actions à mettre en place. Il faut bien évidemment, compte tenu de la situation économique que nous connaissons actuellement, assurer la reconversion des actifs vers les secteurs et les métiers qui recrutent aujourd'hui. Cinquièmement, nous devons permettre aux entreprises de trouver rapidement les compétences dont elles ont besoin. Nous nous sommes aperçus, madame la ministre, que les compétences existant au sein de Pôle emploi sont souvent méconnues ou décriées par quelques-uns, qui ont vécu des expériences malheureuses. Il importe de faire connaître ce que Pôle emploi réalise aujou...
Développer l'apprentissage est essentiel pour préparer les jeunes aux métiers de demain. Or, madame la ministre, le plan de relance ne comprend pas de dispositions législatives ou réglementaires en la matière, alors que nous sommes à l'orée de la préparation de la prochaine rentrée. Qu'en est-il ? S'agissant du maintien en CFA pendant trois à six mois des jeunes ne trouvant pas de maître de stage, quelles sont les modalités de financement ? Quant à la mallette des appre...
Les métiers évoluent, et les organismes qui observent cette évolution considèrent que cette tendance s'accélérera. Dans dix ans, ils considèrent ainsi que plus de la moitié des métiers auront changé, et que de nouveaux seront apparus. Lorsque la Délégation s'est déplacée à Revel, en Haute-Garonne, nous nous sommes aperçus que l'Éducation nationale avait du mal à intégrer ces évolutions. Or, l'adaptation de ...
L'alternance et l'apprentissage sont des éléments extrêmement importants, et il convient de les encourager. Nous nous apercevons, malgré un certain nombre d'éléments d'information dont les familles peuvent disposer, que les taux d'échec en apprentissage sont significatifs. Certaines orientations ne sont pas bonnes. Des journées de découverte des différents métiers permettraient ainsi de consolider le choix des jeunes. C'est l'objet de notre huitième recommandation, qui propose, lors du choix d'une filière en apprentissage, de prévoir a minima une journée de découverte des métiers.
...ellement construite par la jurisprudence. Nous pensons qu'il faut l'affirmer de façon plus ferme et aussi plus adaptée à un nouveau contexte où les entreprises auraient davantage recours à la formation pour leurs salariés, comme nous le recommandons. Une réflexion de fond avec les branches professionnelles apparaît nécessaire, afin de mieux déterminer les obligations de chacun, par secteur ou par métier, en fonction des évolutions en compétences nécessaires. Le cas échéant, il faudra préciser le cadre légal. Il convient de mieux définir cette clause, pour que les entreprises puissent y recourir plus facilement, notamment les TPE et les PME.