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Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, je remercie le président Marseille et mon groupe Union Centriste de me faire l'honneur de défendre aujourd'hui, devant vous, le choix de la majorité d'entre nous de ratifier le Ceta, cet accord de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne. Relevant d'une compétence exclusive de l'Union européenne, cet accord est provisoirement entré en vigueur le 21 septembre 2017. Près de sept ans plus tard, comme le ministre l'a brillamment rappelé, son bilan se révèle très positif pour l'Union européenne et pour la France : la quasi-totalité du commerce de biens industriels et manufacturés est exonérée de...
Telle est la volonté du groupe CRCE-K, car les communistes sont contre le libre-échange, qui serait, d'après eux, à l'origine d'une « mondialisation malheureuse » pour les peuples. Casser la mécanique européenne fait partie de leur logiciel, comme de celui de l'extrême droite. Ce n'est pas nouveau. § Le revirement de nos collègues socialistes est plus troublant, car le Ceta a été signé sous la présidence de François Hollande. §
Si je vote l'article 1er, pour autoriser la ratification du Ceta, c'est d'abord dans l'intérêt supérieur de la France, comme je l'ai expliqué lors de la discussion générale. C'est ensuite parce que lors de mon premier déplacement à Montréal, en janvier 2015, les entrepreneurs français implantés au Canada m'ont demandé de soutenir le Ceta, ce traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada. Cela est devenu ma priorité d'action pour ce pays. Je le fais également pour soutenir notre chambre de commerce France-Canada, présidée par M. Daniel Jouanneau, qui m'a écrit : « Le Ceta offre aux entreprises européennes un bien plus large accès aux marchés publics, dont les sociétés françaises ont su tirer parti. « Avant le Ceta, seuls les marchés publics...
Il y a quelques semaines, nous nous sommes rendus avec le président Rapin et notre collègue Didier Marie en Irlande puis au Royaume-Uni pour plusieurs rencontres et entretiens dans le cadre de notre groupe de suivi. Les échanges que nous avons eus avec différents interlocuteurs ont témoigné du fait qu'une grande incertitude demeure autour de la relation euro-britannique. Pour autant, cette relation continue de nous concerner directement et concentre de nombreux risques et opportunités qui justifient que nous y accordions une attention particulière. Avant que le président Rapin n'évoque les échanges que nous avons eus ...
C'est la première fois au parlement irlandais que le Sinn Féin échange ouvertement avec d'autres partis. Mais il est en difficulté, s'agissant notamment de l'avenir qu'il propose aux jeunes, alors que les conséquences du Brexit se font sentir. Au Royaume-Uni, une pétition a été déposée pour réclamer une enquête publique sur l'impact du Brexit. Elle a déjà atteint plus de 86 000 signatures. Le gouvernement a été obligé d'y répondre, puisqu'elle dépassait 50 000 signa...