2 interventions trouvées.
Le plus simple est que le chef de file soit la collectivité territoriale à qui a été déléguée l'aide à la pierre. Vous citez le département de l'Hérault ; justement, il y a eu délégation de l'aide à la pierre à l'office de Montpellier, celui de Sète, celui de Béziers. Effectivement, dans le reste de l'espace, l'office départemental a la délégation de l'aide à la pierre. Je ne vois pas où réside la difficulté, si ce n'est peut-être pour vous, car cela complique la représentation que vous vous faites de l'organisation du réseau des logements sociaux dans l'Hérault. Or, ce système fonctionne relativement bien. Celu...
... faire preuve d'angélisme. Ce que je suis en train de vivre à Montpellier n'est pas un cas isolé. Certains appartements ou groupes d'immeubles sociaux sont vacants. La commission d'attribution sélectionne des dossiers, mais 80 à 85 % des personnes concernées refusent le logement proposé : ces personnes, en voyant l'adresse, ou en visitant l'appartement, refusent de s'y installer. Que doit faire l'office ? Afin d'éviter d'avoir une population monospécifique dans certains immeubles ou cages d'escalier, doit-on garder les logements vacants ? Ou doit-on y mettre les gens qui acceptent d'y aller ? Dès lors, ce système conduit souvent à une population monospécifique. Le ghetto n'est pas voulu. Mais, plutôt que d'accepter de disposer de logements vacants, on décide d'accepter d'y mettre des gens au ris...