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Il règle le problème et répond à toutes les préoccupations, aussi bien que des mesures plus contraignantes touchant l'installation des médecins en zone sous-dense. Ceux qui deviendront spécialistes auront connu l'exercice de la médecine sur le terrain, c'est très bien. Et si le statut de médecin adjoint pose problème, pourquoi ne pas retenir celui de médecin collaborateur - thésé - qui existe depuis plus de dix ans mais n'est pas suffisamment développé ? Il partage l'activité, sans être complètement associé - le statut a l'intérêt de ne pas lier juridiquement l'exercice et l'installation. Ou alors, on pourrait imaginer un médecin-stagiaire. Il faut maintenir l'amendement : l'avis défavorable de ...
L'amendement n° 645 ne règle pas du tout le problème de l'aménagement du territoire, que règle en partie l'amendement n° 1 rectifié. En effet, l'étudiant stagiaire voit le patient en même temps que le médecin : ce n'est pas un médecin adjoint !