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Je commencerai pour ma part en citant Jaurès : « Le courage est de chercher la vérité et de la dire ». C'est, d'une certaine manière, ce que vous avez commencé à faire. La mondialisation n'est pas un point de vue mais un constat. La seule question qui se pose est celle de savoir que faire avec. Or voilà des années que nos responsables politiques ont refusé de dire la vérité à nos concitoyens : nous n'avons plus les mêmes pouvoirs politiques et économiques qu'il y a quarante ou cinquante ans. La mondialisation a bien sûr parfois des aspects positifs, et vous les avez évoqués, mais...
...le en Loire-Atlantique. Voilà qui mérite un travail d'évaluation et de prospective. Je suis tout à fait favorable à une collaboration avec le CESE, car on est plus intelligent à plusieurs. Rétablir des outils de planification est une impérieuse nécessité. Nous n'en serions pas là si l'on avait mené il y a quelques années une réflexion à long terme ! Nous ne vivons pas dans un espace fermé : la mondialisation est un fait, mais encore faut-il la maîtriser. Les conséquences de la mondialisation sur notre destin national : voilà un beau sujet de réflexion. Autre sujet : les nouvelles technologies de l'information et de la communication, qui peuvent être un outil de développement, mais aussi de désinformation, y compris pour ce qui concerne les réseaux sociaux. Comment maîtriser le progrès ? La question ...