Question soumise le 2 juillet 2015

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M. Didier Mandelli attire l'attention de M. le secrétaire d'État, auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, chargé des transports, de la mer et de la pêche sur la ligne ferroviaire Nantes-La Rochelle-Bordeaux.

Grâce à la ténacité des élus locaux, un plan de modernisation la ligne Nantes-Bordeaux s'est inscrit dans les contrats de plan État-région des Pays-de la-Loire et Poitou-Charentes. Une première phase d'opérations est prévue entre 2015-2020.

Cette ligne particulièrement dégradée entre La Roche-sur-Yon et La Rochelle, va être rénovée. Elle a été attendue depuis de nombreuses années par les usagers, le personnel et les élus. Cette vétusté a pour conséquence la mise en place, dès 2016, d'un ralentissement notamment à 60km/h sur 100km, ce qui allongera la durée du parcours de près de 50 minutes.

Pendant cette première phase de réhabilitation, les trains seront limités à trois allers-retours par semaine. Cela va se traduire, à partir de décembre 2015, par la suppression de deux trains : Bordeaux-Nantes le vendredi soir (21 h 45 à Luçon) et le Nantes-Bordeaux du dimanche soir (20 h 18 à Luçon). Or, ces trains sont très fréquentés.

Cette fermeture de lignes est préjudiciable à la mobilité de nos concitoyens qui vivent en milieu rural.

C'est pourquoi, il lui demande de lui indiquer s'il est possible de ne pas supprimer ces deux trains et de maintenir les arrêts à Luçon, ainsi que de moderniser, au plus vite, cet axe, tout en préservant les dessertes indispensables au désenclavement des territoires.

Réponse

Cette question n'a pas encore de réponse.