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M. Alain Vasselle attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur la situation de la filière du massage bien-être en France.
Actuellement, les praticiens rencontrent de nombreuses difficultés administratives, préjudiciables à l'économie de ce secteur et son développement. Est en cause une interprétation restrictive de l'article R. 4321-3 du code de la santé publique qui définit par ailleurs le cadre d'intervention d'une autre profession, celle des masseurs-kinésithérapeutes : « On entend par massage toute manœuvre externe, réalisée sur les tissus, dans un but thérapeutique ou non (...) ».
Il lui indique que depuis plusieurs années, la fédération française de massages bien-être (FFMBE) demande la reconnaissance des massages « bien-être » comme outil de relaxation et de détente, sans aucun but thérapeutique ni médical. En conséquence, une inscription au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) du titre de « praticien en techniques corporelles de bien-être » permettrait à la profession de se développer sans restriction, ni difficulté et au grand public d'avoir accès au massage bien-être dans un cadre reconnu et structuré.
Ainsi, il lui demande de lui indiquer dans quel délai elle compte lever les obstacles à cette reconnaissance.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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