Ce site est une archive.
Il reflète uniquement l'activité des sénateurs sur la période d'octobre 2004 à mars 2023.
Guy-Dominique Kennel
Question écrite N° 21257 au Ministère de l'éducation
Avenir de la grande école du numérique
Question soumise le 14 avril 2016
Être alerté lorsque cette
question aura une réponse
 par email |
M. Guy-Dominique Kennel attire l'attention de Mme la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur la grande école du numérique. À ce jour, 171 premières formations ont été labellisées en fonction de différents critères et seront dispensées dans 130 fabriques numériques. Une enveloppe globale de 5 millions d'euros du programme d'investissements d'avenir « projets innovants en faveur de la jeunesse » permettra dès cette année à 72 des 84 structures concernées de financer le développement de leur offre de formation. Ces formations courtes et qualifiantes aux métiers du numérique permettront dès 2016 à un large public (jeunes et personnes sans qualification ou diplôme à la recherche d'un emploi ou en reconversion professionnelle, habitants de quartiers de la politique de la ville) de se former efficacement afin de trouver du travail rapidement dans cette filière d'avenir. Cette initiative est louable et importante dans le parcours professionnel de chaque individu et quelle que soit sa situation. Cependant, il était convenu que le pilotage et l'animation du réseau de la grande école du numérique soient coordonnés par un groupement d'intérêt public dont la création devait avoir lieu au premier semestre 2016. Il lui demande si cette situation juridique nécessaire pour le bon fonctionnement de la grande école du numérique sera maintenue et quelles en seront les conditions. Il lui demande aussi s'il est prévu une mission d'évaluation de la grande école du numérique et dans quels délais afin de mesurer la pertinence et l'efficience de ces formations. Il lui demande aussi quel sera à terme le financement de la grande école du numérique de peur que le financement glisse vers les collectivités locales créant ainsi une nouvelle charge subie.
Réponse
Cette question n'a pas encore de réponse.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette question.