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M. Jean-Marie Bockel attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la situation des enfants atteints de dyspraxie.
Environ 5 à 7% de la population (source : institut national de la santé et de la recherche médicale) est concernée a des degrés variables par la dyspraxie, trouble de l'automatisation et de la coordination des gestes. Les enfants sont les premiers concernés. En 2016, les réponses apportées aux enfants dyspraxiques et à leurs familles sont loin de donner satisfaction.
Aussi, il souhaite connaitre les garanties données par le Gouvernement sur le maintien de la dyspraxie dans le champ de compétence de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH) lorsque les familles la sollicitent et ce peu importe le taux d'incapacité, ainsi que sur les améliorations prévues pour les élèves dyspraxiques notamment concernant la modification du guide barème, la proposition du plan d'accompagnement personnalisé (PAP) uniquement pour les familles qui en font la demande, l'accès au diagnostic et la création de services dédiés.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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