Question soumise le 29 décembre 2016

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M. Philippe Bonnecarrère souhaite rappeler l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la question des « déserts médicaux » notamment en matière de médecine de premier niveau, la médecine générale.

Nombre de mesures ont été tentées depuis l'augmentation du numérus clausus, la mise en place des maisons de santé pluridisciplinaires ou plus récemment le contrat d'engagement de service public.

Force est de constater que ces mesures ont des résultats divers.

Il lui demande, en conséquence, si la solution la plus pertinente ne se situerait pas au niveau de la formation des médecins, en faisant en sorte de favoriser au sein des différentes disciplines médicales l'orientation et la formation des médecins généralistes. Cette question peut être élargie à celle des spécialités en tension.

Il lui est demandé quelles mesures elle compte prendre, notamment sur la base de cette orientation, afin de trouver une solution pour nos concitoyens sans devoir envisager des mesures, contraires à la liberté d'installation, qui seraient très probablement contre productives à l'égard du corps médical.

Réponse

Cette question n'a pas encore de réponse.