par email |
M. Philippe Adnot attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur le fait que le traitement au dichlorure de radium 223 qui semble efficace sur les formes agressives de cancer de la prostate, bien que remboursé dans vingt-trois des vingt-huit pays de l'Union européenne, ne l'est pas dans notre pays.
Il souligne le fait que pour se soigner, nos concitoyens atteints doivent se rendre à l'étranger et assurer personnellement le coût de leur traitement, soit environ 30 000 €.
Il lui demande si ce traitement qui bénéficie d'une autorisation de mise sur le marché européen depuis 2013 est susceptible d'être réévalué en vue de permettre à des milliers de patients français atteints d'un cancer de la prostate agressif d'en bénéficier à un coût accessible dans leur pays.
Cette question n'a pas encore de réponse.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette question.