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M. Michel Amiel attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur les capacités de prise en charge ambulatoire par les centres médico-psychologiques.
Elle a dévoilé le 28 juin 2018 la feuille de route de la santé mentale et de la psychiatrie qui, en cohérence avec les objectifs de la stratégie nationale de santé, développe les axes majeurs d'action que sont le repérage et la prise en charge précoces des troubles psychiques et la prévention du suicide.
Une de ses mesures, l'action n° 9, prévoit le développement de la prise en charge ambulatoire psychiatrique y compris dans des lieux faciles d'accès et non stigmatisés (comme les maisons d'adolescents).
Dans le rapport de la mission d'information sur la situation de la psychiatrie des mineurs en France du Sénat n° 494 (2016-2017), les propositions n° 24 et 25 faisaient déjà référence à la nécessité d'une plus grande coordination entre un besoin hospitalier (augmentation du nombre de lits) et des structures permettant un accueil de jour.
Aussi, il lui demande si elle compte s'appuyer sur concertation pour repréciser les missions et organisation des centres médico-psycho-pédagogiques, des centres médico-psychologiques et des centres d'action médico-sociale précoce voire des centres d'activité à temps partiel.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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