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M. Michel Amiel attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la santé sur la question des infirmiers de pratique avancée en dermatologie.
L'accès aux soins reste un problème dans notre pays, et constitue un frein à l'aspect préventif de la médecine.
Si le problème de la santé visuelle a été maintes fois mis en avant, la réflexion sur les enjeux du maillage territorial et de l'accès aux soins en dermatologie a longtemps été oubliée.
Aussi, certaines maladies de peau ne sont pas détectées suffisamment tôt.
Pour exemple, les cancers de la peau (carcinomes et mélanomes) ne peuvent pas être « dépistés » au sens strict, puisqu'on ne peut pas les identifier avant l'apparition de symptômes, mais on peut les détecter au plus tôt en procédant à des examens réguliers de la peau.
Afin de simplifier l'accès à de tels examens, il lui demande si elle compte envisager des modalités pour développer le rôle des infirmiers en pratique avancée dans cette spécialité qui a vu sa démographie bouleversée en dix ans (- 10 % de praticiens).
Cette question n'a pas encore de réponse.
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