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Mme Marta de Cidrac attire l'attention de M. le ministre de l'économie et des finances sur la fermeture des établissements de vente directe de fleurs, plantes et arbres.
Il faut savoir que 60 % de la vente de ces entreprises se fait en mars, avril et mai. De nombreux produits sont périssables.
Des dérogations ont été accordées par certains préfets, ce qui est une bonne chose pour certains territoires mais cela crée des distorsions de concurrence entre certains territoires et départements et, en leur sein, entre certains établissements.
En réponse à une question au Gouvernement posée le 1er avril 2020 au Sénat, la secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie et des finances a déclaré que les plants potagers étaient considérés comme un bien de première nécessité.
Suite à cette décision, un grand nombre de jardineries rouvrent et vendent très naturellement l'ensemble de leurs articles (barbecues, bougies, plantes ornementales...).
Il serait donc juste et équitable que les pépinières et les boutiques horticoles puissent également rouvrir leur exploitation, dans le respect des consignes de sécurité, au-delà d'un simple « drive ».
Elle souhaiterait savoir s'il peut lui apporter une réponse claire et précise afin que ne perdurent pas certaines inégalités liées à cette situation.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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