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M. Laurent Burgoa interroge Mme la ministre déléguée auprès du ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports, chargée des sports, au sujet des lourdes conséquences économiques et sociales de ce second confinement et notamment pour les fédérations d' activités de loisir individuel de plein air.
Alors que ces fédérations, qui ont eu à gérer le déconfinement du 11 mai 2020, ont élaboré des protocoles sanitaires stricts et adaptés, permettant ainsi une reprise en toute sécurité, celles-ci ne bénéficient pas d'une dérogation. Pourtant, leurs activités de plein air ne créent pas de brassage et ne constituent pas des vecteurs de transmission. Ceci ayant été reconnu par le haut conseil de santé publique en avril 2020.
Surtout, ces professionnels ont à cœur de s'adapter afin de pouvoir faire face à cette crise sanitaire et désormais économique.
La réouverture des sports de plein air peut se faire sur la base d'un encadrement du nombre maximal de participants, selon la procédure dite de « Park and Play ». Ce « Park & Play », en vigueur dans de nombreux pays de l'Union européenne, s'apparente au « Click & Collect ». Les compétitions restant suspendues, de même que les services annexes (vestiaires, restauration collective...).
Dans la mesure où leur accidentologie est très faible, il demande que soit autorisée une reprise de leurs activités dès le 1er décembre 2020.
Cette question n'a pas encore de réponse.
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